A la recherche de l'ingénieur « holistique »
Au cours d'une étude récente questionnant une possible pénurie actuelle d'ingénieurs (sujet dont nous vous parlerons dans un prochain post), l'Apec a interviewé des recruteurs français, allemands et américains. Les recruteurs américains leur ont notamment parlé de leur recherche actuelle d'ingénieurs « holistiques ».
Ingénieur « holistique », kézako? Ce concept a été pour la première fois utilisé par Domenico Grasso, doyen du département de sciences de l'ingénierie à l'université de Vermont. Il est parti du constat que les ingénieurs américains, à compétences égales, coûtent beaucoup plus chers à l'entreprise que leurs homologues chinois ou indiens. Ce faisant, ils ont la nécessité d'être plus rentables et de développer des compétences en management et des comportements leur permettant d'apporter une valeur ajoutée à leur employeur.
En France, les recruteurs, même s'ils n'utilisent pas (encore?) le terme d'ingénieurs holistiques, sont conscients des grands défis que doit relever l'ingénieur du XXIème siècle. Dans une économie où la concurrence est globale, où l'innovation constitue pour de nombreux secteurs un facteur clé de succès primordial, l'ingénieur doit savoir saisir une opportunité de business, vendre son idée, fédérer des équipes souvent internationales, suivre un planning, lire et établir un budget...sans pour autant faire fi de ses connaissances techniques et scientifiques.
Un certain nombre de responsables de formations d'ingénieurs ont compris que l'acquisition de compétences comportementales et managériales favorisent l'intégration professionnelle et l'évolution de carrière de leur diplômés. C'est d'ailleurs à ce titre que B2EN intervient depuis plusieurs années dans des écoles d'ingénieurs pour animer des ateliers pratiques destinés à donner aux élèves les attitudes, comportements et réflexes nécessaires à un intégration professionnelle réussie. C'est aussi à ce titre que l'ingénieur français, reconnu jusqu'alors pour ses connaissances scientifiques, continuera à rayonner au niveau international.
Ingénieur « holistique », kézako? Ce concept a été pour la première fois utilisé par Domenico Grasso, doyen du département de sciences de l'ingénierie à l'université de Vermont. Il est parti du constat que les ingénieurs américains, à compétences égales, coûtent beaucoup plus chers à l'entreprise que leurs homologues chinois ou indiens. Ce faisant, ils ont la nécessité d'être plus rentables et de développer des compétences en management et des comportements leur permettant d'apporter une valeur ajoutée à leur employeur.
En France, les recruteurs, même s'ils n'utilisent pas (encore?) le terme d'ingénieurs holistiques, sont conscients des grands défis que doit relever l'ingénieur du XXIème siècle. Dans une économie où la concurrence est globale, où l'innovation constitue pour de nombreux secteurs un facteur clé de succès primordial, l'ingénieur doit savoir saisir une opportunité de business, vendre son idée, fédérer des équipes souvent internationales, suivre un planning, lire et établir un budget...sans pour autant faire fi de ses connaissances techniques et scientifiques.
Un certain nombre de responsables de formations d'ingénieurs ont compris que l'acquisition de compétences comportementales et managériales favorisent l'intégration professionnelle et l'évolution de carrière de leur diplômés. C'est d'ailleurs à ce titre que B2EN intervient depuis plusieurs années dans des écoles d'ingénieurs pour animer des ateliers pratiques destinés à donner aux élèves les attitudes, comportements et réflexes nécessaires à un intégration professionnelle réussie. C'est aussi à ce titre que l'ingénieur français, reconnu jusqu'alors pour ses connaissances scientifiques, continuera à rayonner au niveau international.
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