Bienvenue!

Ce blog a pour objet d'aider les ingénieurs dans leur recherche d'emploi. Il s'adresse aux élèves-ingénieurs, aux ingénieurs débutants, aux ingénieurs expérimentés et aux ingénieurs "Seniors". La création de ce Blog relève de la conception que je me fais de l'apprentissage: l'Interactivité. Alors n'hésitez pas à intervenir et j'essaierais de vous aider le mieux possible dans la rédaction de cv, l'entretien de recrutement et tous les autres items liés à ce sujet (gestion du stress, marché de l'emploi,...). A vos marques. Bloggez!

14 décembre 2008

Candidats expérimentés: pensez réseaux!

En début d’année, lors d’une table ronde sur les réseaux relationnels à laquelle nous avons participé dans une école d’ingénieurs, nous avions été surpris par les haros poussés par certains élèves lorsque nous expliqué ce qu’est la cooptation. « Votre cooptation, c’est du piston », nous ont dit certains étudiants.

Les 3èmes années de cette même école, que nous venons de sensibiliser à la gestion de leur carrière ont par contre tout de suite saisi l’importance de la cooptation pour leur évolution professionnelle. Pourquoi ? Sans doute parce que les stages qu’ils ont déjà effectués leur ont permis d’appréhender la réalité et les enjeux des réseaux relationnels dans l’environnement professionnel.

La cooptation n’est certes pas très utilisée dans les process de recrutement des jeunes diplômés, sans doute parce que beaucoup des stages de fin d’études d’ingénieurs sont des stages de pré-embauche.

Cependant, une majorité d’embauches de profils d’ingénieurs expérimentés se font via le réseau relationnel (cooptation ou cabinet de recrutement).

Pourquoi ? Principalement parce que plus un candidat est expérimenté, plus son salaire est élevé (en règle générale) et plus le risque financier lié à son recrutement est important pour l’entreprise.

Les recruteurs préfèrent donc faire appel à des intermédiaires de confiance (salariés ou consultants en recrutement) pour sélectionner et leur présenter des candidats susceptibles de correspondre au mieux à leur recherche. Ces candidats, une fois dans l’entreprise, s’efforceront en outre de ne pas décevoir l’intermédiaire qui les a présenté, surtout s’il s’agit d’un ami.

D’où l’importance de tisser ses réseaux dès son entrée de le monde professionnel pour se donner les meilleurs atouts pour son évolution de carrière. Vous souhaitez changer de poste? Pensez réseaux... mais n'oubliez tout de même pas de consulter régulièrement les annonces!

23 octobre 2008

Crise économique: Les ingénieurs pris dans la tourmente

Allez, je me lance: C'est la crise!!!!!!
Tout le monde en parle et on croit tout connaître de cette dernière. Toutefois, je vous propose de l'aborder sous un angle différent: quelle est la place de l'ingénieur dans ce bouleversement économique?

Il y a encore quelques mois, les ingénieurs faisaient partie des populations actives les plus recherchées sur le marché du travail. On affirmait que c'était la voie royale et bon nombre de responsables d'écoles poussaient les étudiants à s'intéresser à la finance voire à devenir les "rois du monde" c.a.d Traders.
Mais voilà, la crise financière est passée par là et on accuse les ingénieurs. Leurs compétences, louées autrefois, sont aujourd'hui pointées du doigt à tous les étages:

-"Les traders sont des apprentis-sorciers qui se sont brûlés les doigts"
-"Les ingénieurs financiers ont créé des produits financiers d'une telle complexité qu'on n'y comprend plus rien"
-"Au contrôle des risques, les ingénieurs ont créé des formules mathématiques aussi complexes qu'inutiles"
-...
L'ingénieur, créateur de complexité, est donc coupable!

Ralentissons un peu. Le système financier mondial s'écroule.Certes. Il est fort probable que tous ses acteurs ont une part de responsabilité dont les ingénieurs.
Toutefois, si l'on a introduit de la complexité en finance c'est qu'il y avait un véritable besoin, et de vrais résultats: n'oublions pas les profits exceptionnels des banques en 2007.

Y a-t-il eu des excès? Évidemment. C'est dans la nature de l'homme.
Que va-t-il se passer? Le temps va les corriger... et nous repartirons vers une nouvelle croissance qui créera de nouveaux excès,... C'est ce qu'Alain Minc appelle la "respiration du capitalisme".

Aujourd'hui, l'ingénieur est aussi victime de la crise.
Dans de nombreux secteurs d'activité (Finance, Publicité,...), les budgets recrutement ont été gelés. Les sociétés de conseils et de services continuent à recruter mais elles privilégient clairement les profils expérimentés (ce qui signifie "sans risque" et "sans coût de formation supplémentaire").

Faut-il paniquer ? Surtout pas en ce moment.
Par contre, il faudra être beaucoup plus attentif à sa gestion de carrière.
Lionel KALIFA. www.b2en.fr, contact@b2en.fr.

26 septembre 2008

Test your English Level

Aujourd'hui, nous vous proposons de tester gratuitement votre niveau d'anglais.
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Good luck !

21 septembre 2008

La Suisse c'est plus que du chocolat !

Envie de vous expatrier ? Alors pourquoi pas en Suisse ?
B2EN vous propose ici une interview exclusive de Sandra, ingénieur en informatique, qui vit actuellement en Suisse.

B2EN : Dans quel cadre avez-vous pu vous expatrier ?
Sandra : Suite à un licenciement économique, j’ai posté mon profil professionnel sur une CVthèque bien connue. Après plusieurs années passées chez un éditeur de logiciels, le changement tombait à pic. J’ai été contactée par de nombreuses entreprises dont une SSII qui me proposait un poste à long terme en Suisse. Après en avoir discuté avec mon conjoint et ma famille, on s’est tout simplement dit pourquoi pas ? Nous sommes donc venus passer 2 jours sur place. J’ai rencontré mon futur patron et son client. Entre temps, j’avais aussi décroché 2 propositions de poste intéressantes en PACA. Finalement, l’attrait du changement a été le plus fort et 2 mois plus tard, mon conjoint avait démissionné de son poste de responsable d’équipe dans l’industrie, nous avons pris nos enfants et nous nous sommes installés en Valais.

B2EN : Quelles sont les principales difficultés pour trouver un travail en Suisse ?
Sandra : Dans le secteur informatique et notamment pour des profils débutants à confirmés en J2EE, il y a aujourd’hui énormément d’offres en Suisse. En ce qui me concerne, je n’ai eu aucune difficulté à trouver ce poste et j’ai déjà eu de nombreuses propositions malgré le fait que je ne sois pas en demande et que mon profil ne soit visible que sur Viadeo.

B2EN : Y a-t-il une grande différence entre les cantons Suisses ?
Sandra : Il y a effectivement une grande différence entre les cantons qui sont presque des mini-pays indépendants : la fiscalité est différente, le système scolaire est différent, le coût de la vie est différent, la langue est évidemment différente. Vous pouvez distinguer les cantons Français (Valais, Vaud, Genève), les cantons Allemands (Bern…) et les cantons Italiens. Conseillez à vos ingénieurs de bien se renseigner avant de se lancer. Les sites Internet des cantons Suisses sont très bien faits et il y a de nombreux forums d’expatriés qui sont une véritable mine d’informations.

B2EN : Quels sont les principaux avantages à travailler en Suisse ?
Sandra : Pour un cadre, l’avantage est d’abord financier. Le salaire y est beaucoup plus attrayant qu’en France (en tout cas à Marseille) et les heures supp’ sont payées. Par contre, attention aux légendes urbaines concernant l’imposition. Elle est un peu moins forte qu’en France mais mis bout à bout, il n’y a pas beaucoup de différence.
Ce que je considère comme un avantage : une grande partie de l’impôt est prélevée à la source, c'est-à-dire que vous recevez votre salaire en fin de mois quasiment net d’impôt.
Un désavantage par rapport à la France : le système de santé quasiment totalement privé en Suisse et qui peut vite plomber un budget (130CHF, soit environ 80€ pour un simple contrôle chez le dentiste !). Pour le reste, les loyers et le cout de la vie en général dépendent beaucoup du canton. Par exemple, un 4 pièces de 80m2 à Marseille pour 1200€ = un 4 pièces de 130m2 pour 2000CHF (=1200€) en Valais = un 4 pièces de 130m2 pour environ 3500CHF à Genève. Pour ce qui est du cout de la vie (les courses, les restos…), il est équivalent en Valais à celui de Marseille.

B2EN : Êtes-vous satisfaite de vos conditions de vie et de travail en Suisse ?
Sandra : Je suis totalement satisfaite de mes conditions de vie et de travail en Valais. Moins de stress, plus de souplesse, une vie agréable et même idéale pour une maman qui peut gérer à la fois sa passion pour son boulot avec un projet vraiment intéressant et ses enfants en bas âge pour qui la vie ici est un vrai bonheur.

B2EN : Un conseil essentiel pour terminer ?
Sandra : Je pense qu’il y a de belles opportunités en Suisse en ce moment. Il y a de très beaux projets professionnels, le pays est très joli et la vie y est très agréable (attention cela dit aux différences entre Canton). De plus, depuis les accords bilatéraux avec la France, les formalités administratives sont facilitées. Dernière chose : une autre légende urbaine : il n’est plus vraiment intéressant de vivre en France pour travailler en Suisse.

Merci encore à Sandra pour son retour d'expérience.
Vous souhaitez avoir plus d'informations ou obtenir des opportunités dans ce beau pays:
contact@b2en.fr ou www.b2en.fr rubrique "Nous contacter".

04 août 2008

A la recherche de l'ingénieur « holistique »

Au cours d'une étude récente questionnant une possible pénurie actuelle d'ingénieurs (sujet dont nous vous parlerons dans un prochain post), l'Apec a interviewé des recruteurs français, allemands et américains. Les recruteurs américains leur ont notamment parlé de leur recherche actuelle d'ingénieurs « holistiques ».
Ingénieur « holistique », kézako? Ce concept a été pour la première fois utilisé par Domenico Grasso, doyen du département de sciences de l'ingénierie à l'université de Vermont. Il est parti du constat que les ingénieurs américains, à compétences égales, coûtent beaucoup plus chers à l'entreprise que leurs homologues chinois ou indiens. Ce faisant, ils ont la nécessité d'être plus rentables et de développer des compétences en management et des comportements leur permettant d'apporter une valeur ajoutée à leur employeur.
En France, les recruteurs, même s'ils n'utilisent pas (encore?) le terme d'ingénieurs holistiques, sont conscients des grands défis que doit relever l'ingénieur du XXIème siècle. Dans une économie où la concurrence est globale, où l'innovation constitue pour de nombreux secteurs un facteur clé de succès primordial, l'ingénieur doit savoir saisir une opportunité de business, vendre son idée, fédérer des équipes souvent internationales, suivre un planning, lire et établir un budget...sans pour autant faire fi de ses connaissances techniques et scientifiques.
Un certain nombre de responsables de formations d'ingénieurs ont compris que l'acquisition de compétences comportementales et managériales favorisent l'intégration professionnelle et l'évolution de carrière de leur diplômés. C'est d'ailleurs à ce titre que B2EN intervient depuis plusieurs années dans des écoles d'ingénieurs pour animer des ateliers pratiques destinés à donner aux élèves les attitudes, comportements et réflexes nécessaires à un intégration professionnelle réussie. C'est aussi à ce titre que l'ingénieur français, reconnu jusqu'alors pour ses connaissances scientifiques, continuera à rayonner au niveau international.

03 juillet 2008

"L’avenir de la microélectronique : reprendre l’offensive"

L'électronique est partout: dans nos voitures, nos lecteurs mp3, nos cartes bancaires,...
Plus elle se miniaturise, plus ses applications deviennent variées et susceptibles de transformer nos vies.
Pourtant, le soutien de la France à ce secteur d'avenir est loin d'être constant dans la durée.
Nous vous présentons donc une chronique de France Info donnant la parole à Claude Saunier, Sénateur des Côtes d'Armor et auteur d'un rapport très intéressant sur la Microélectronique.

Ecouter la chronique

19 juin 2008

"Cherche ingénieurs désespérément"

Voici le titre publié par l'APEC en ce mois de juin. Le sujet est repris par des dizaines de journaux et magazines. D'ailleurs, il suffit d'aller visiter un salon de recrutement pour vérifier ces dires.
Ainsi, on nous explique longuement quels profils pour quelles entreprises.
Une chose paraît surprenante: aucun article ne parle de ce que veulent les ingénieurs en terme d'évolution professionnelle, de projet de vie,...
En bref, les entreprises ont de nombreux postes à "vendre" aux ingénieurs mais vendent souvent sans écouter leur hypothétique collaborateur.

Qu'en pensez-vous?

04 mai 2008

Génération Y et gestion de carrière

En introduction du dernier dossier du mensuel « Management », intitulé « Réussir avant 35 ans », on trouve un article intéressant sur la « Génération Y ».
« Génération Y », vous m’avez dit ? Oui, vous savez, ces professionnels nés dans les années 80-90 qui, à la différence de leurs aînés (Génération X), ne souhaitent pas se sacrifier au travail, accordent plus d’importance à leur épanouissement personnel, souhaitent acquérir de nouvelles compétences, parcourir le village planétaire et ne se sentent pas attachés à l’entreprise qui les emploient.
Cette tendance, difficilement généralisable, est tout de même remarquable chez les nombreux ingénieurs que nous rencontrons en rendez-vous individuels ou au cours des interventions que nous réalisons dans des salons professionnels, écoles et universités.
Nous y rencontrons souvent des ingénieurs qui ressentent par exemple le besoin d’aller voir si l’herbe est plus verte dans des banques anglaises, de découvrir une culture d’entreprise qui corresponde plus à leurs valeurs ou d’apprendre un nouveau métier.
Beaucoup se demandent si de tels changements ne porteraient pas préjudice à la suite de leur carrière. La réponse est oui… et non à la fois.
Oui, car il faut se méfier des discours incitant au changement du fait de la pénurie de cadres. Un informaticien qui, après 5 ans d’expérience, est parti pendant 5 ans élever des chèvres en Ardèche ne sera certainement pas submergé d’appels s’il laisse son CV sur une CVthèque demain.
Non, car un changement bien géré et bien expliqué est en général peu préjudiciable. A partir de là, comment bien gérer un changement ? Vaste question.
Nous pouvons déjà lancer quelques pistes:
En initiant une véritable réflexion sur sa personnalité, ses valeurs, ses rêves, les compétences que l’on a acquise, celle que l’on veut acquérir, son rapport au travail, aux loisirs. En en parlant à son entourage (famille, amis, collègues et même employeur) ou à des consultants professionnels (des Go-B2EN par exemple :o) . La communication permet très souvent de mieux comprendre comment les autres nous perçoivent et d’apaiser les craintes qu’ils peuvent avoir à l’idée de nous voir changer. Partir sur un « coup de tête », sans avoir au préalable clarifié la direction vers laquelle on souhaite aller et sans avoir pris le soin d’expliquer ce choix à ses proches est souvent la source de conflits intérieurs, familiaux, amicaux ou professionnels.
Après tout, notre berger n’aura pas de difficultés à retrouver un emploi d’informaticien s’il est resté à jour par rapport à ses compétences et est resté ouvert sur le monde (par une veille technologique, en réalisant une application de gestion de ses activités, en créant un ou des sites internet sur les chèvres, la flore , l’Ardèche ou tout au sujet qui peuvent le passionner) !

30 mars 2008

Info: B2EN sera présent au Salon Plein Emploi

B2EN sera présent au Salon Plein Emploi, salon des carrières et des compétences des ingénieurs en informatique, lundi 31 mars de 11h à 20h au CNIT de Paris La Défense.

Tout au long de la journée, un Go-B2EN animera des sessions de préparation aux entretiens d'embauche avec simulations filmées. Les participants, préalablement inscrits, pourront ensuite bénéficier de conseils personnalisés sur leur évolution de carrière.

A 16h, Christian MAKAYA, directeur associé de B2EN, animera une conférence sur le thème: " Changer de poste: stratégies et tactiques". Il sera accompagné de Milène MERIENNE, consultante en gestion de carrière qui intervient notamment dans le cadre de bilans de compétences. Ce sera une bonne occasion pour les personnes qui n'auront pas pu s'inscrire aux sessions de formation d'aborder des sujets qui les préoccupent actuellement quant à leur gestion de carrière.

Vous trouverez plus d'informations sur le site du salon: http://www.pleinemploi.net/ ainsi que sur le site de B2EN: http://www.b2en.fr/ .


Au plaisir de vous y croiser!

11 février 2008

Quand écologie rime avec réduction des coûts: le rôle de l'ingénieur

A l'heure où la question de l'écologie est (enfin) un sujet brûlant pour notre avenir, nous sommes en droit de nous demander quel peut être le rôle de l'ingénieur vis-à-vis de la survie de notre planète.
Certes, il faut travailler au développement de technologies plus propres notamment dans le domaine industriel et celui des transports. Mais l'écologie passe aussi par le fait de moins gaspiller. Tout un chacun pourra éviter d'imprimer tous les mails reçus, utiliser un mug plutôt qu'une multitudes de gobelets en plastique pour son café,... Tous ces petits gestes qui "sauvent" notre planète et qui réduisent les coûts (D'ailleurs, c'est souvent sous cet angle que les dirigeants d'entreprise commencent à s'intéresser aux questions environnementales).
Mais allons plus loin dans le raisonnement, une entreprise c'est aussi une organisation et une multitude de processus qui y sont rattachés. La complexité d'appréhension de cet "écosystème" donne toute sa place à l'ingénieur. Il aura pour tâche la conceptualisation des processus, l'analyse des points "polluants", la proposition de solutions.
En bref, il rendra les méthodes des entreprises plus propres tout en réduisant les coûts.
Si un jour on m'avait dit que Cost Killer rimerait avec Non pollueur...

31 janvier 2008

Info: B2EN sera présent au Forum des Télécommunications le 21/02/2008

2 consultants de B2EN seront présents dans l'Espace Conseil du Forum des Télécommunications.
A cette occasion, nous organiserons des simulations d'entretiens filmées et vous donnerons tous les conseils dont vous avez besoin.
L'entrée est libre mais il est nécessaire de vous inscrire au préalable (http://www.forumdestelecommunications.fr/).
Nous vous donnons donc rdv le jeudi 21 février 2008 de 9 à 19H à Paris Expo-Porte de Versailles.

A bientôt.

01 janvier 2008

Damned! I lost my English

Petite histoire qui m'est arrivée hier.
Je suis devant mon ordinateur et je tombe sur le site www.anglaisfacile.com/.
Ce site entièrement gratuit a une excellente réputation et je décide alors de tenter le test de niveau.
J'ai toujours été bon en Anglais et j'ai même été pratiquement fluent à la fin de mes études.
Les 30 questions semblent assez faciles et je réponds avec une grande fluidité.
Et là c'est le drame! 15,7/20 à un test qui est à la portée de n'importe quel bon élève de 3ème.

J'ai eu mon TOEIC avec 840 points sur 990 il y a 5 ans. Le problème vient du chiffre 5.
Comme beaucoup d'entre vous, je n'ai pas assez pratiqué mon Anglais et it is leaving me.

Une bonne résolution pour l'année 2008 que vous pourrez partager avec moi:
je me remets à l'Anglais (j'ai ressorti mon bouquin de vocabulaire et me suis inscrit sur anglaisfacile.com) et ne le laisserai plus jamais partir sans moi.